Plus de 2000 journalistes se sont inscrits au centre de presse pour couvrir les sessions de l'APN et de la CCPPC, dont plus de 500 sont des correspondants étrangers. Parmi eux se trouvent des francophones, que notre envoyée Lin Yuan a rencontrés.
Deux jours après l'ouverture de la session de la CCPPC, celle de l'APN a levé le rideau dimanche matin. Avant l'inauguration, les journalistes et les représentants se sont rassemblés devant le palais, en attendant pour entrer dans la salle.
Nous avons ainsi rencontré Yann Rousseau, correspondant du journal "Les Echos", qui a exposé devant notre caméra ses points de vue sur les questions brûlantes qui feront l'objet des discussions.
Yann Rousseau, correspondant Les Echos
"Mon journal est plutôt un journal économique, donc ce qui m'intéresse, c'est plutôt les questions économiques. Cette année, il y en a pas mal, avec le plan quinquennal, ça peut avoir un impact pour les entreprises étrangères et pour mes lecteurs qui sont des hommes d'affaires français. Il y a aussi des questions sociales importantes, notamment la sécurité sociale, l'éducation et l'aide aux campagnes..."
Dans la file d'attente des journalistes, un autre correspondant français, Mathieu Baratier, correspondant de Radio France Internationale. C'est la première fois que ce journaliste couvre un tel évènement, et il s'est déclaré plutôt intéressé par son organisation.
Mathieu Baratier, correspondant Radio France Internationale
"Ce qui m'intéresse d'abord, c'est l'organisation de la session, je viens voir un peu comment ça se passe. Moi c'est plutôt l'ambiance, l'atmosphère et l'organisation qui m'intéressent, plus que les questions de fond".
Lin Yuan, CCTV
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