La légende des Singes poilus reflète réellement la sagesse des hommes et leur humour et aussi une sorte d’amour pour la vie. Parallèlement, l’apparition du singe poilu signifie aussi que l’homme a trouvé une voie et une façon spéciale pour exprimer sa vie ou son humeur.
Un petit singe poilu tout seul est certainement drôle mais ça n’a pas tellement de sens. Comment les vieux artistes de Beijing, qui ont de l’inspiration, font-ils pour que le petit singe poilu devienne plus expressif et intéressant ?
Wang Zhongshan s’est lancé dans la création de singes poilus depuis 20 ans. Mais avant de prendre la retraite, il n’était qu’un simple fonctionnaire. Confectionner des singes poilus, c’est son hobby.
La caractéristique typique est qu’elles sont faites de matériaux que nous trouvons dans la vie quotidienne. On recourt à la paille, à l’argile et au tissu pour confectionner des marionnettes de théâtre d’une dizaine de centimètres de haut et la confection n’est pas très complexe.
En 1913, Bingxin vint à Beijing pour la première fois à l’âge de 13 ans. Durant les premiers jours de son séjour à Beijing, ce qui lui laissa la plus profonde impression fut les figurines en soie découvertes à la foire du temple Longfu.
Les petites figurines en soie ont permis à Bai Dacheng de réussir sa vie. Grâce à son savoir-faire des figurines en soie, sa grande famille mène une vie aisée et il a aussi contribué à exporter cet art folklorique vers les pays étrangers. Il est devenu héritier unique de cet art folklorique.
Le tabac à priser est élaboré à partir des feuilles de tabac moulues en poudre fine, mélangée de musc, de miel, de bornéol et bien d’autres ingrédients médicinaux, le tout mis en pot hermétiquement pour son vieillissement durant plusieurs années, voire des dizaines d’années, puis, à sa sortie, assortie de parfum.
A l’origine, les pots à tabac à peinture intérieure étaient transparents. Les dessins des deux côtés pouvaient se troubler à la vue, c’est pourquoi, les peintres intelligents dépolirent la paroi du pot. Ainsi, le traitement permet non seulement une meilleure vue du dessin d’un côté mais facilite beaucoup la coloration.
Vers la fin des Ming et le début des Qing, les plus grands peintres pour pot à tabac se réunirent dans la capitale. Ils furent appelés école de la Capitale. Plus tard, certains se rendirent dans le Shandong, formant ainsi l’école du Shandong. D’autres fondèrent l’école du Guangdong à Shantou dans le Guangdong...